A propos
En tant que psychopédagogue, formateur agréé et psychopraticien formé à l'approche systémique et stratégique de Palo Alto par l'Université de Liège, parcourant les écoles de la maternelle au secondaire au quotidien depuis plus de 10 ans pour aider les élèves et enseignants à s'outiller contre le harcèlement, à mieux comprendre ce que l'élève demande à travers sa colère, sa tristesse, son isolement, quelquefois même par sa violence, j'ai imaginé un centre thérapeutique différent où la parole de l'enfant est précieuse, un endroit où l'enfant et le parent peuvent se confier naturellement, un lieu où l'on va écouter la souffrance pour mieux la cerner et l'atténuer ou la voir disparaitre.
Dans le cadre des thérapies brèves selon l' approche de Palo Alto, nous nous sommes spécialisés dans l'apaisement des souffrances scolaires et le bien-être de l' enfant et des parents.
En tant que psychopédagogue, nous accompagnons les enfants , adolescents ou adultes dans la réussite de leurs études en leur proposant une méthodologie personnalisée à leurs besoins et profil.
Nous intervenons dans de nombreuses écoles en Wallonie, Bruxelles et Nord de France et vous recevons dans notre centre la prunelle de ses yeux à Mons et Tournai.
Nous organisons des rencontres avec les parents en milieu scolaire, afin de les outiller pour faire face aux problèmes habituels auxquels ils sont confrontés comme le harcèlement, les enfants et les écrans, la parentalité...
Nous formons également les enseignants de la maternelle au secondaire, centre PMS, à la gestion de conflits, à l'estime de soi, confiance en soi, à la prise en charge des troubles d'apprentissage...
Comme tous professionnels de la santé mentale, nous sommes supervisés par le centre thérapeutique Chagrin scolaire d'Emmanuelle Piquet et l' ASBL Bref à Liège.
Nous travaillons également en réseau avec d'autres spécialistes formés à la thérapie brève et à d'autres pratiques.
Notre approche propose une alternative aux interventions psychologiques classiques qui considèrent que le problème ou la « pathologie » appartient à l’individu. Nous nous inscrivons dans un modèle « non pathologisant » et considérons que le problème est toujours en lien avec son contexte relationnel.